Un jeune sommelier ouvert sur le monde

LE CHEF

248

Un jeune sommelier ouvert sur le monde

Passionné par son métier, Benjamin Roffet a d’aussi loin qu’il s’en souvienne toujours voulu être sommelier. Après un baccalauréat scientifique et un BTS Hôtellerie-Restauration, il effectue une année de Mention Complémentaire Sommellerie à Dijon. En 2010, il est sacré Meilleur Sommelier de France. Un an plus tard, il devient Meilleur Ouvrier de France Classe Sommellerie 2011. Benjamin est un sommelier heureux car, déclare-t-il « j’ai travaillé dans des établissements qui figurent parmi les plus beaux monde. Qu’il s’agisse du Claridge’s à Londres ou du Trianon Palace à Versailles, où j’officie actuellement ». D’ailleurs, le jeune sommelier ne perçoit pas son métier comme un travail à proprement parler. De fait, « le vin berce la totalité de mes journées. Un des aspect que j’apprécie néanmoins le plus est le fait d’être un interlocuteur privilégié auprès des vignerons et ensuite auprès des clients. Le contact clientèle est primordial et il faut aimer le relationnel client pour devenir sommelier ». Outre les belles maisons dont Benjamin est très fier, il y a également « plusieurs rencontres qui ont été déterminantes » pour le jeune-homme.


Rencontres formatrices
Sa passion du vin ? Benjamin a pu la partager avec des personnes telles qu’Éric Baumard, vice-meilleur sommelier du monde 1998 et sommelier au restaurant « La Poularde » de Montrond-les-Bains de 1987 à 2001. « J’ai rencontré qu’éric Baumard à l’époque


Il reste 66% de l’article à lire

Pas encore abonné ? Abonnez-vous !

Vous êtes abonné ? Connectez-vous