
Après des années de souffrance et de recherche, Guy Breton a fait de ses vins nature des références en la matière. Les cinq cuvées produites sur Saint-Joseph, Grands Cras et Régnié-Durette allient élégance, finesse et structure. Le plaisir est au rendez-vous !C’est l’histoire d’une petite parcelle de Morgon composée de vieilles vignes centenaires qui a failli perdre son identité. Nous sommes en 1987 et Guy Breton est le principal protagoniste de cette intrigue viticole. « Mon grand-père possédait 2,5 hectares mais mes parents n’avaient pas pris le relais et ils avaient fait appel à un vigneron pour s’occuper du domaine. Au décès de ce dernier, on m’a demandé si j’étais intéressé pour m’en occuper sachant que je ne buvais pas une seule goutte de vin… »
Un guide nommé Marcel Lapierre
Et voilà comment Guy Breton est devenu P’tit Max, « comme le prénom de mon père », un vigneron qui va devenir au fil des années un précurseur des vins nature. « Dès 1987, j’ai passé un diplôme pour apprendre les bases théoriques en 1 200 heures. Après mon examen, j’ai eu la chance de me lier d’amitié avec Marcel Lapierre. » Ce dernier est l’un des rouages essentiels de la petite révolution du vin naturel. En 1981, sous l’impulsion de Jules Chauvet, chercheur connu et
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