Responsable du service restauration, intendance et entretien, Bruno Montuelle chapeaute au total une soixantaine d’agents. La cuisine centrale produit 850 à 900 repas par jour, dont 600 à 650 pour le scolaire : deux maternelles, deux primaires et un collège. Le reste concerne le personnel communal, les enseignants et directions d’établissements, le portage à domicile pour le 3ème âge et, deux fois par mois, un repas d’une vingtaine de couverts dans un foyer de personnes âgées. Il réalisait jusqu’à maintenant les menus à la semaine, pour une plus grande souplesse, mais à partir de cette année il passe en marchés. Pour l’aider à élaborer les marchés et cahiers des charges, il a été fait appel à un cabinet spécialisé. Une étude complète a été réalisée sur les secteurs de la restauration, comprenant également les repas produits sur place et non en cuisine centrale des crèches, haltes-garderies et des deux centres de loisirs (dans l’Essonne et en Haute-Savoie).
Un menu unique
L’acquisition du logiciel Aidomenu permet depuis plus d’un an de mieux gérer l’élaboration des menus. Les repas sont réalisés en cuisine centrale (en ville, près de la mairie), en liaison chaude. A côté de la cuisine, la salle reçoit les primaires à 11h30, puis les collégiens à 12h50, avec un service à table. Une autre salle accueille les adultes. «Pour moi, le temps du repas doit vraiment couper la journée, y compris pour les adultes. On s’occupe d’eux quand ils arrivent».
Dans