Les cerisiers et leurs petits fruits à noyau sont fragiles. L’attention doit donc être permanente durant la production, la récolte, puis le stockage. Conservez les cerises à température ambiante ou au frais (à sortir avant dégustation pour qu’elles retrouvent leur arôme). Vous pouvez les surgeler, équeutées et éventuellement dénoyautées. La production française est essentiellement composée de bigarreaux, douces et sucrées. On en trouve différentes variétés (burlat, summit… ). Les griottes, elles, sont plus acidulées. Juteuse, d’un rouge sombre ou éclatant, la cerise se croque avec gourmandise. Si ses 68 kcal aux 100 g en font en fruit rouge assez calorique, son index glycémique bas apporte des réserves énergétiques intéressantes. Et c’est aussi une très bonne source de vitamine C, polyphénols, bétacarotène, sans oublier les fibres et le potassium.
Pour les préparer, passez simplement les cerises sous l’eau, mais séchez-les pour éviter l’humidité qui accélère la détérioration. Les plonger une heure dans un bain d’eau glacée permettra de les dénoyauter plus facilement. En entrée, mélangez-les à des crudités et des salades «de caractère» (roquette, frisée… ).
Avec les volailles
En plat, les viandes blanches, les volailles et les gibiers les apprécient (en garniture ou sauce). En dessert, salades de fruits, tartes et clafoutis peuvent être déclinés. Le fromage de brebis, les pousses d’épinard, les pistaches font partie de ses associations préférées. Préparez aussi des cerises et fraises en ramequins, recouverts de crème (jaunes d’oeufs, sucre en poudre, sucre vanillé battus, crème fraîche, à