Râpé, tranché en rondelles ou en tronçons, en dés ou en ruban à la mandoline, le concombre adopte tous les modes de découpe, y compris les «billes» à mélanger avec du melon l’été, par exemple. On le trouve nature (ou juste assaisonné) au salad’bar du restaurant de collectivité, un stand de distribution de plus en plus fréquent pour laisser les convives libres de composer leur propre entrée.
De la famille des cucurbitacées et originaire de l’Himalaya, le concombre a commencé à devenir populaire en France à partir du XVIIème siècle. Il en existe plusieurs variétés, dont le «hollandais» (le plus courant) ou l’«épineux», très amer. Il doit être ferme, mais pas trop dur (sa chair aurait alors un goût trop amer), à faire dégorger éventuellement selon les recettes (c’est rarement nécessaire si le concombre est petit et frais).
En verrine ou gaspacho
Proposez-le en entrée simplement arrosé d’un jus de citron et d’un peu d’huile d’olive, ou bien accompagné d’un yaourt (à la grecque, avec ail et menthe ou coriandre). Attention, s’il adopte comme toutes les crudités la vinaigrette en assaisonnement, privilégiez une version allégée ou limitez-en la quantité. Ce serait dommage de faire monter le taux énergétique de ce légume si «diététique». Dans l’air du temps, les verrines accueillent avec plaisir le concombre sous différentes formes : petits dés, mousse, bâtonnets, etc. Mixez-le par exemple avec du fromage frais et des pignons de pin, salez, poivrez et associez avec un