Les membres du Rosbif Club ont de la chance. Lors de leur dernière sortie, à Londres, ils n’ont pas fait que bien manger. Ils ont découvert durant leur visite au Butcher’s Hall, lieu mythique de la viande, une technique d’amélioration organoleptique du bœuf appelé le Dry Ageing. Elle n’est pas nouvelle dans son principe, mais elle s’appuie aujourd’hui sur des outils qui lui donnent une nouvelle efficacité en matière gustative. Les meilleures pièces sont protégées par des enveloppes de protection en tissu (stockinettes) pour bénéficier d’un régime de maturation qui maîtrise savamment les paramètres de température, d’hygrométrie, de ventilation et de la qualité de l’air. Une maîtrise due à une technologie évoluée qui aboutit à coup sûr à ce que faisait de mieux les bouchers les plus affûtés du temps passé. La tendreté et la jutosité qui en ressortent sont sans égales ; les membres du Rosbif Club peuvent en témoigner. Pourquoi ne pas les rejoindre ?
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