Selon une étude parue dans Nutrition, Metabolism and Cardiovascular Diseases, les chercheurs en nutrition, métabolisme et maladies cardiovasculaires de l’université de Florence viennent de mener une petite expérience avec du fromage au lait de brebis. Ils ont étudié pendant dix semaines les marqueurs de risque cardiovasculaire chez une dizaine de personnes qui mangeaient 200 gr par jour d’un excellent pecorino. Ils ont pu constater une modification favorable et importante de certains marqueurs de l’inflammation impliqués dans l’athérosclérose. Le fromage se chargerait ainsi d’entretenir la souplesse des artères. Divers travaux sont en cours dans le monde à la recherche de bénéfices cardiovasculaires du fromage aussi bien de vache que de brebis ou de chèvre. Ces bénéfices pourraient être attribués en partie au calcium et en partie à d’autres composants du fromage comme certains acides gras.
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