La consommation de poisson et d’acides gras oméga 3 pourrait limiter le déclin des fonctions cognitives, voire les syndromes de pré-démence et la maladie d’Alzheimer. Cette conclusion est le résultat d’une étude française, conduite pendant 13 ans chez près de 5 000 femmes âgées. L’étude signale par ailleurs le rôle bénéfique possible des fibres et des vitamines du groupe B. Cependant, les résultats d’autres études viennent réfuter cette hypothèse.
Une autre étude, menée pendant 6 ans chez un millier d’hommes âgés ne montre pas d’association entre les performances cognitives et la consommation de poisson et d’oméga3. A l’heure actuelle, les experts estiment qu’aucune recommandation nutritionnelle définitive ne peut être donnée par rapport au risque de démence ou de déclin des fonctions cognitives.