Le Dr Landy Razanamahefa, de la Direction générale de la Santé (ministère de la Santé), a fait un point sur le PNNS 2 en restauration scolaire. Ce programme de santé publique, multi-sectoriel, multi-stratégies et multi-cibles, est décliné en actions, mesures et réglementations, au niveau national mais aussi loco-régional. La dimension «plaisir» y a toute sa place, les messages doivent être positifs (pas d’interdit), et les informations sont scientifiquement validées et compréhensibles. Une première phase, avec le PNNS 1, avait déjà permis de proposer des outils et des référéntiels validés, tels que des guides. Des objectifs ont été fixés : augmenter la consommation de fruits et légumes, l’activité physique, réduire la consommation de sel, etc. «Le PNNS 2, en 2006-2010, prolonge et amplifie le PNNS 1, les mesures et les actions entreprises», a-t-elle observé. Le gouvernement vient de mettre en place l’Oqali (Observatoire de la qualité de l’alimentation) et le 12 décembre dernier avait eu lieu un grand colloque national sur le PNNS.
Villes actives du PNNS
Deux études principales y ont été présentées, ENNS