Stéphane Laurier a investi 762 245 euros (HT) financés à 90% grâce à un emprunt sur sept ans. Depuis juillet, l’établissement s’étend désormais sur 450 m2 au lieu de 200 m2, un confort appréciable tant pour les clients que pour les quinze employés. «Toutefois le nombre de couverts (45) est resté identique car nous savons maîtriser cette capacité. Ainsi, nous demeurons dans une offre très qualitative», affirme Stéphane Laurier. Son épouse Agnès, décoratrice-designer, a recrée l’ambiance d’une ancienne maison bourgeoise, revisitée «Nouveau Classicisme» alliant le style XIXe siècle et l’art japonais dans une atmosphère zen. «Nous sommes repartis à zéro avec cette nouvelle salle et une nouvelle cuisine bien équipée. Nous réalisons une moyenne de 25 couverts à midi et de 35 le soir. L’objectif consiste à en faire dix supplémentaires et à enregistrer en 2004 un chiffre
«Le plus difficile, c’est d’avoir son style. Je ne l’ai pas encore atteint, mais il s’affine. Actuellement, je me passionne pour le travail du chef Passard