Un an déjà : Jonathan Caron et Jean-François Bury

LE CHEF

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Un an déjà : Jonathan Caron et Jean-François Bury
© Guillamue Guerin / ©T. Levy / M. Lebriez

Jonathan Caron


L’Innocence à Paris (75)


Après avoir exercé à L’Ambroisie, à La Bigarrade, à l’Atelier Rodier ou encore à Oka avec Raphaël Rego, Jonathan Caron a pris ses quartiers rue de la Tour d’Auvergne à Paris. Confiant la cuisine aux soins des cheffes Anne Legrand et Clio Modaffari, le jeune homme exerce désormais au plus près des clients.


Un an après… êtes-vous un cuisinier différent ?


Je ne suis plus derrière les fourneaux, je suis le propriétaire et le chef de salle. Ça ne change pas vraiment mon rapport au métier. La seule chose qui a vraiment évolué, c’est le lien direct que j’ai avec les clients. Le fait de les recevoir dans notre propre restaurant change la donne. Nous accordons davantage d’attention aux détails et aux retours. Nous tâchons de recevoir les critiques de façon plus constructive qu’avant.


Un an après… quelles sont vos plus grandes satisfactions ?


Notre plus grande satisfaction est de transmettre toujours autant de plaisir et de passion à nos clients. Les voir partir avec un grand sourire et nous remercier nous donne la sensation du travail accompli. Mon rôle principal est de faire partager la cuisine et l’univers de mes cheffes. Nous avons mis en place pour cela une carte avec de très beaux produits et un bon rapport qualité-prix. Nous nous sommes donné les moyens de réussir. La


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