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Pâtissier venant d’une première formation de cuisinier, Jean-François Foucher refit un apprentissage pour satisfaire à sa passion. Chez Antoine, à Bordeaux, il connut le travail technique le plus classique, de quoi l’armer pour le futur. Mais curieux de ce qui se passait en France, il arriva à intégrer la brigade d’Alain Chapel à Mionnay. Il y resta deux années qui le marquèrent : la simplicité et le dépouillement pour atteindre le meilleur. Grande époque de motivation et de progression qui le poussèrent chez Jean Bardet où il se hissa à la première place. Tout cet acquis lui donna Palet or au chocolatl’opportunité de prendre davantage de responsabilités à la Ferme Saint-Siméon où il travailla sur plusieurs établissements et donc plusieurs cuisines. Et cela deux années de plus avant d’aller goûter aux eaux turquoises de Saint-Barth. François Plantation représentait alors l’hôtel qui proposait une cuisine de référence dans les îles. Ayant La pomme d’amourfranchi l’océan, il rejoignit Washington, au restaurant très gastronomique local Lespinasse où il tint tout le long de son visa. Ces voyages lui donnèrent le goût de l’international et il intégra le groupe Hyatt. Il fut bien servi : deux années à Buenos Aires et une année à Osaka. Les fraises des boisSon passage au Japon lui fit repenser sa pratique du métier,