Invités par les entrepôts de Nîmes et d’Avignon, les restaurateurs se sont retrouvés autour d’un repas réalisé par les chefs Christian Etienne et Bruno d’Angelis, épaulés pour les vins par les cavistes Metro des entrepôts de Nîmes et d’Avignon. Vincent Ferniot a insisté sur le caractère convivial de ce moment : «nous avons des chefs de touts les types de restauration qui se côtoient, qui posent leur toque pour pouvoir parler d’homme à homme autour du produit». Afin de parler le mieux possible du produit, METRO a imaginé des séances de dégustation qui permettent de bien cerner les différences entre les origines, de sorte que le professionnel puisse établir un jugement sans préjugé. Ces soirées sont également l’occasion pour METRO de montrer qu’il est à même de déployer une offre très large, et surtout, qu’il a à coeur de faire la promotion des produits français, même si comme le souligne Pascal Gayrard, Directeur général de METRO France, l’on prend l’exemple de l’agneau, «l’agneau français ne couvre que 10 % de la demande française en restauration».
Goûter la différence
A Avignon, autour d’un cocktail pédagogique et du dîner, les professionnels ont tout d’abord dégusté à l’aveugle un maki et une brochette de cochon, avec pour chacun des mets, l’un avec une origine France, l’autre avec une viande fermière du Ventoux. Le maki a été, à l’image d’un rouleau de printemps, fourré d’un filet mignon de porc. Concocté avec du soja