«L’avenir de maisons comme la nôtre, assez perdue en Ile-de-France, c’est Internet et le GPS», plaisante Laurent. L’étoile, décrochée en 2005, un an après son installation au Tremblay, l’a beaucoup aidé aussi pour le distinguer dans une offre assez large du grand ouest de la région parisienne. Mais pour arriver à ce bel équilibre entre vie de famille et capacité à s’exprimer pleinement dans son métier, Laurent a emprunté une voie difficile.
L’épreuve du Nord
En 1995, sortant d’une année chez Roger Souvereins, le double étoilé belge, où il travailla avec Stéphane Carrade, il voulut, à 25 ans, écrire son propre livre de cuisine. Il l’auto-édita avec un prêt bancaire conséquent et réussit
Le salut en Ile-de-France
Il finit par céder ses affaires et fut incité par le chef de sa première maison, Christian Blot