
Après ce travail, les propriétaires, des consultants mauriciens en finance, ont fait adhérer l’hôtel à la chaîne Small Luxury Hotel. Mais ils visent l’intégration dans les Relais Châteaux, plus porteurs à leur goût. A la tête de l’hôtel, M. Rivière, ancien des chaînes mauriciennes Beachcombers et Sun International. L’hôtel a été relooké par l’architecte du Royal Palm et du Touessrok. Afin de ne pas se trouver en concurrence directe
avec de grosses unités comme le Résidence, le Prince Maurice ou le nouveau Saint-Géran, le Paradise Cove, situé sur la côte ouest (la plus vivante), a misé sur l’intimité et l’accueil personnalisé. Avec 67 chambres, donc 130 clients au maximum, chaque personne doit être reconnue. «Avec six arrivées et six départs par jour, il est possible d’avoir une politique aussi personnalisée. Le patron peut être présent pour souhaiter la
bienvenue et la réception peut même se faire dans la chambre.» Pour la cuisine, la mauricienne est jouée à fond. Une façon de ne pas se disperser dans des styles divers et difficiles à maîtriser. Le chef mauricien José Kwantat dispose de deux restaurants : la salle à manger principale qui sert le dîner et la Cocoteraie (système de paillotes sur la plage intérieure du Cove) pour le déjeuner.
Il a travaillé au Royal Palm et dans d’autres hôtels de l’île, ce