Le 29 septembre, date de l’épreuve écrite qui a servi à départager les candidats dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, ils étaient 407 à postuler. En octobre, ils n’étaient plus que 337, réchappés de cette première sélection. Le deuxième round, véritable parcours du combattant, a vu échouer certains cuisiniers célèbres, y compris des «macaronnés» Guide Rouge, pour ne retenir que quarante-huit finalistes, uniquement des hommes issus de dix-neuf centres de sélection, qui se sont retrouvés à Toulouse. Ces présélectionnés avaient réussi
Depuis jeudi, les Meilleurs Ouvriers de France comptent vingt-quatre cuisiniers de plus, soit 50 % du nombre de finalistes, après la réalisation de trois recettes pour huit