L’ humeur générale dans la profession est de désespérer des capacités techniques et psychologiques des jeunes gens sortis de l’école. Et de condamner en bloc l’enseignement professionnel de la cuisine par l’Education Nationale. S’il est évident que les deux tiers des élèves des écoles hôtelières n’ont rien à faire dans notre profession par manque de motivation et manque d’aptitudes, il est rassurant de rencontrer et de voir à l’oeuvre ces jeunes qui se battent pour être sélectionnés au concours Kikkoman. Ils font plaisir à voir car ils croient à leur métier, ils l’aiment et désirent faire le
En plus de proposer une avancée technique dans la cuisine française par l’emploi d’un ingrédient nouveau pour notre tradition, le concours Kikkoman a l’immense mérite de montrer en pleine lumière