Il y a trente ou quarante ans, on ne le consommait pas dans les pays occidentaux. Aujourd’hui, le kiwi, originaire de Chine, fait partie de notre alimentation courante. Il peut être apprécié toute l’année, avec une pointe en hiver, et la France désormais le cultive… La variété la plus répandue est la Hayward, créée en Nouvelle-Zélande, à la chair verte recouverte d’une fine peau brune et duveteuse qu’il faut ôter. Le kiwi contient des petits pépins comestibles. Il en existe d’autres variétés, de couleur jaune notamment, à la chair plus sucrée ou dont la peau peut être consommée.
Comme c’est un fruit qui mûrit après récolte, il peut s’acheter légèrement immature et se conserver au frais, de quelques jours à plusieurs semaines. Attention aux réactions allergiques, qui peuvent être causées par l’actinidine. Coupé en deux, le kiwi s’évide à la petite cuillère. Une fois pelé, vous pouvez le tailler en dés, en rondelles, voire en étoile avec un emporte-pièce.
Encore ferme, il offre une saveur plutôt acidulée (à inscrire dans des préparations sucrées-salées), mais se révèle plus juteux et sucré lorsqu’il est bien mûr. S’il se déguste nature pour offrir pleinement son goût et ses atouts nutritionnels, il se cuisine également, le plus souvent cru. Il peut cependant être légèrement (et rapidement) poêlé. Avec des crudités ou d’autres fruits, il se consomme en salade, en entrée ou en dessert.
Avec des crustacés ou de la panna cotta
Le poisson (fumé notamment),