Quel bilan peut faire Metro de l’année 2009 ?
Nous avons maintenu notre chiffre d’affaires, ce qui dénote une réelle prise de part de marché et avons même attiré de nouveaux clients. Le modèle Metro avec une facture unique, sans minimum d’achats, pour une offre de plus de 40 000 produits, apparaît comme un bon modèle. Une offre «concentrée» -tout sous un même toit- séduit les restaurateurs qui doivent pouvoir faire leurs achats au jour le jour.
Comment avez-vous gagné ces nouveaux clients ?
C’est une addition de facteurs qui, conjugués, ont attiré un nombre important de nouveaux clients. Contrairement à d’autres entreprises du secteur, nous n’avons pas diminué nos moyens de communication et conservé notre stratégie de clientèle ciblée. Nous avons même accru notre capacité de communication, notamment sur internet (www.metro.fr). Aussi, nous avons utilisé le marketing direct avec des offres adaptées par mail ou SMS. Selon le cours du jour de certaines matières premières, nous pouvons proposer à nos clients des prix très compétitifs sur des produits ciblés selon leurs besoins.
De nombreux services ont été développés cette année. Ils font partie des solutions Metro qui séduisent vos clients ?
Il y a la livraison express en deux heures comme au P18 à Paris, qui connaît un grand succès. Le restaurateur remplit ses chariots, paye, puis il est livré de sa marchandise dans des conditions optimales. Pour un coût de 34 euros, il peut se faire livrer un volume d’une palette