Pourquoi un salon pour le snacking et la consommation nomade ?
Ce marché est en pleine croissance, le consommateur est de plus en plus demandeur. C’est le secteur de restauration où il y a le plus d’innovations, témoins de réelles évolutions. Notre salon permet de les rassembler et d’encourager ce marché et ses innovations, que ce soit du côté alimentaire, emballages, matériel ou outils de traçabilité…
Quel est le bilan au lendemain de ces deux journées ?
Nous avons accueilli plus de 300 exposants. Plus de 10 000 personnes ont visité notre salon. Il s’agissait surtout de patrons de restaurants, de responsables de réseaux, de patrons d’achats de GMS et de responsables de grandes chaînes, sur invitations ciblées. Notre objectif était de rassembler tous les gens qui ont un intérêt pour le snacking. Je crois qu’il est atteint.
Le salon va-t-il prendre une autre tournure suite au rachat par Reed ?
La prochaine édition se fera au même moment de l’année, au même endroit et avec le même concept. Ce salon occupe un créneau bien spécifique et bien ciblé. Rien ne changera donc, si ce n’est la qualité que nous essayerons d’améliorer encore, et la programmation que nous souhaitons développer.
Qu’avez-vous justement fait évoluer cette année ?
Nous avons commencé à développer le «contenu». Notre atelier «Snacking des chefs», en partenariat avec Metro, a vu passer 12 grands chefs. Des dizaines de professionnels sont intervenus pour animer 14 conférences. Ces rendez-vous ont été fortement