
J’ai fait un rêve pour 2014. Le gouvernement reconnaissait enfin l’importance de la restauration gastronomique française. Cette gastronomie qui cultive la diversité des terroirs, des produits, des inspirations. Une richesse dans une France diverse, variée et unique qu’il serait fort dommageable de laisser s’appauvrir.
Les pouvoirs publics reconnaissaient l’importance de cette restauration dans son apport à l’économie du tourisme et à l’image de la France à l’étranger. On se préoccupait enfin de ces chefs régis par une vraie passion. Ces marchands de bonheur qui travaillent plus de 80 heures par semaine, qui s’évertuent à transmettre leur savoir auprès des apprentis pour former de vais professionnels.
En effet qui peut mieux que les professionnels former, qualifier et embaucher les chômeurs ?
Finies les augmentations multiples de charges écrasantes pour ces chefs d’entreprise, de TPE, de PME, impôts, taxes diverses, électricité.
Finies les réglementations tatillonnes et les normes stupides (adaptées à des grosses entreprises et totalement perverses pour les entreprises de moins de 50 salariés).
Finis les contrôles harcelants d’une administration plus préoccupée par la recherche de la faute des bons établissements que par le contrôle des mauvais.
Enfin ces politiques et cette administration, financées par nos impôts, se préoccupaient d’aider et d’encourager ces entrepreneurs infatigables qui créent de la valeur et de l’emploi et oeuvraient pour redonner de l’air, de l’espoir et des perspectives à ce secteur d’activité.