
Situé au numéro 16 de l’Avenue de l’Opéra à Paris (75001), entre le Louvre et l’Opéra Garnier, le Nolinski (Evok Hotel) dévoile une table totalement repensée : Nolinski Le Restaurant. La nouvelle carte, signée du chef étoilé du Restaurant du Palais Royal Philip Chronopoulos depuis décembre 2019 – également Chef Exécutif des hôtels Nolinski (Paris et Venise) – fait la part belle aux parfums du monde, aux jeux de textures et aux associations de saveurs subtiles à travers le mélange du cru, des produits de la mer et autres notes délicatement épicées, faisant de chaque plat une nouvelle escale en pays méditerranéen.
Encornets grillés, artichauts et chorizo (19€) ou Ceviche de bar bio, légumes croquants et sauce sriracha (19€) en entrée ; Spaghetti au homard bleu, bisque épicée (52€), Ravioles croustillantes aux herbes lactées, châtaignes et féta (24€) ou Petits rougets juste saisis, caviar d’aubergine et condiments acidulés (35€) figurent, entre autres, à la carte de Nolinski Le Restaurant. En dessert, c’est une sélection des très esthétiques pâtisseries signées du MOF Yann Brys que la clientèle peut désormais découvrir, à l’image du « Palais Royal » chocolat noisette (14€) ou encore du Millefeuille caramélisé, crème à la vanille (14€). Une élégante cuisine d’évasion à déguster dans un décor imaginé par le designer anglais John Whelan, mêlant ici Art déco et esprit « seventies ».
« C’est un lieu intimiste, hors du temps. Végétation et plantations le séparent de l’effervescence de la ville. Une fois à l’intérieur, on oublie l’extérieur. On découvre un ailleurs, un autre univers : celui du Nolinski. », déclarait le Directeur General et co-fondateur d’Evok Emmanuel Sauvage, qui précise également toute l’importance désormais consacrée au service en salle au sein du restaurant : « Dans un contexte où la restauration a plus que jamais besoin de profils formés, nous désirons aujourd’hui redonner aux métiers du service toutes leurs lettres de noblesse, en y apportant de la modernité et en valorisant ce savoir-faire. Découper une volaille, lever des filets, ou encore faire flamber un dessert, sont des compétences requises, au même titre que le sens de l’accueil et la bienveillance. Nous avons besoin de redonner de la valeur aux métiers du service ».