
En 2017, le virus TiLV (Tilapia Lake Virus) faisait des ravages. Le 26 mai de cette même année, le Système mondial d’information et d’alerte rapide (SMIAR) de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) donnait l’alerte, informant maladie qu’une maladie contagieuse se propageait chez les tilapias (l’un des poissons les plus consommés au monde), qu’ils soient sauvages ou issus d’élevages.
Les poissons de Colombie, d’Équateur, d’Égypte, d’Israël, de Thaïlande mais aussi de Chine et d’Afrique auraient été touchés. Au Gabon notamment, la peur de voir réapparaître ce virus (sans grand danger pour l’homme mais mortel pour les tilapias) est toujours là. Si des contrôles particuliers ne sont pas effectués sur place à l’arrivée des poissons d’élevage, le risque serait en effet toujours présent.