
« La qualité les yeux fermés », c’est la promesse client des nouvelles MDD Metro, qui réintègrent le nom Metro pour une meilleure lisibilité.
Le distributeur a en effet annoncé, le 24 janvier, le repositionnement et la refonte de ses marques propres, avec le lancement de Metro Chef (univers alimentaire), Metro Professional (pôles non alimentaires) et Metro Premium (sphère gastronomique, en gestation). « Nous clarifions ainsi le positionnement de chaque marque », a lancé Benoît Feytit, directeur général de Metro France.
Si la marque Horeca Select disparaît, certaines MDD continueront d’exister comme Gilbert, dont la renommée n’est plus à faire dans l’univers du café-bar. Metro continuera ainsi à proposer une offre complète pour accompagner les CHR au quotidien.
Tout cela est le fruit d’un long travail de réflexion, de tests produis et de qualité. Établis selon des cahiers des charges très stricts et s’inscrivant dans la démarche engagée et responsable de l’enseigne, les produits MDD Metro sont élaborés et sélectionnés par des chefs, MOF, caféologues et maître artisans, dont David Zuddas, restaurateur à Dijon. Metro ne cache pas son engagement sur la nutrition et la santé, l’éthique, la protection de l’environnement et le bien-être animal.
Fidèle à son habitude, Metro continue aussi de proposer des prix compétitifs. « Nous permettons aux restaurateurs d’établir leur budget et leur marge sans rogner sur la qualité. Nous cherchons à leur simplifier la vie et à leur faire gagne du temps », poursuit Benoît Feytit, qui évoque, parmi les objectifs visés, le renforcement de la crédibilité de Metro. « Nous voulons faire de nos MDD les marques préférées de nos clients et être le partenaire de leur succès », a renchérit Nathalie Chevrollier, responsable MDD Metro.
Au total, Metro a arrêté 200 produits, en a lancé 150 et en ajusté 200. Le MDD chez Metro, c’est 5 000 références et 23 % du chiffre d’affaires, dont 80 % réalisés par l’offre F&B. « Les MDD font clairement partie de la stratégie de différenciation et de fidélisation », résume Benoît Feytit.