
Cocottes gourmandes pour cuisine de tradition
Williams Jacquier a repris, en octobre, une institution lyonnaise : «Le Vivarais». Dans un cadre re?nove?, ce MOF 1996 perpe?tue une cuisine de tradition dont lyonnaise, tout en apportant une touche de finesse personnalise?e.
Beau pari professionnel pour le discret Williams Jacquier, MOF 1996… En octobre, il a repris une institution lyonnaise de la place Gailleton : «Le Vivarais» tenu par Robert Duffaud et dont il a conserve? le nom. En une semaine, les travaux de re?novation ont e?te? salutaires pour un embellissement tout en frai?cheur, signe? De Ambroggio. On retrouve toutefois avec plaisir l’a?me du lieu. Williams Jacquier a souhaite?, de?s le de?part, perpe?tuer «une cuisine de tradition authentique qui permette au client de retrouver le bon gou?t des produits». «Les saisons me guident pour renouveler les plats de la carte et souvent, les matie?res premie?res propose?es par les fournisseurs m’incitent a? re?aliser tel ou tel mets», affirme Williams Jacquier qui s’approvisionne notamment aupre?s de Beauvallet (viandes), Homards Acadiens (poissons), Bail (fruits et le?gumes) et d’un boulanger du quartier. Williams Jacquier est parti sur l’ide?e de servir en semaine au de?jeuner, une formule baptise?e : «La cocotte lyonnaise». Pour 18 euros, on a droit à un plat mijoté en cocotte (joue de boeuf braisé, blanquette à l’ancienne, pot-au-feu …), un fromage blanc ou un dessert, et un verre de vin.
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