
La récente taxe de 2% prévue par le gouvernement pour les hôtels aux nuitées dépassant les 200 euros continue de faire grincer les dents des syndicats hôteliers. Que ce soit le Synorcat, l’Umih ou la Faghit, tous déplorent ce nouvel effort à fournir, qui fait suite à de nombreuses demandes telles que la mise en conformité aux règles de sécurité incendie, la mise aux normes pour les handicapés ou encore les divers investissement à réaliser pour le classement des établissements. Les hôteliers des DOM seront quant à eux encore plus touchés, puisqu’en plus de cette nouvelle taxe, ils devront gérer la suppression de l’abattement de 30% sur leur bénéfice imposable prévue dans le cadre du plan de rigueur instauré.