Après cinq ans de travail assidu, Thierry Finet a pu enfin mener son projet à terme, réaliser un nouveau Piet à Terre dans une plus grande superficie. Après avoir pensé construire un hôtel-restaurant à Châteaumeillant dans le Cher, la ville de son premier restaurant, Thierry Finet a dû se rabattre sur la reprise d’un établissement. Le premier projet a été avorté en raison du coût majoré du site, du fait de l’investissement en voirie et assainissement, pour lequel le restaurateur avait pensé aidé par la mairie. Il n’en fut rien. C’est également la mauvaise conjoncture qui lui a fait réviser son jugement. Après d’autres recherches, il a fait l’acquisition d’une ancienne maison bourgeoise, rue Lahitolle, à Bourges. Mais la transformation de la bâtisse en restauration fut loin d’être facile, car, cette fois-ci, c’est son architecte qui lui a fait retarder de trois mois le chantier : l’étude du sous-sol n’avait pas été réalisée, révélant des surprises, et auparavant, s’apercevant qu’il n’avait pas fait jouer la concurrence, il a dû reprendre entièrement la recherche des fournisseurs. Ambitieux, fort de son étoile acquise dans son Piet à Terre de Châteaumeillant, Thierry Finet veut faire fructifier sa notoriété.
À 100 kms de son ancien fief, il continue de se faire approvisionner par son jardin de 7 hectares, et par les mêmes fournisseurs qu’à l’époque de Châteaumeillant. Soucieux de l’accueil de sa clientèle, il est parvenu à tisser des liens avec l’Hôtel d’Angleterre et