Les bars et restaurants sur le vin sont toujours d’actualité. Récemment, dans la rue festive d’Oberkampf à Paris, est né le Bistrot du vin qui danse. Tenu par Julien Verdier, il a été ouvert avec deux autres associés qui exploitent deux autres restaurants, le Vin qui danse, en place depuis 2004 et le Vin qui chante, qui a ouvert en 2008. Le bistrot travaille donc une nouvelle fois le vin mais sur une offre réduite (25 références), l’endroit ne disposant pas de la même superficie de stockage que ses acolytes. Les vins proviennent de vignerons indépendants. Une large partie des références (18) sont proposées au verre, et autrement, selon le dispositif qui a son succès, à la ficelle. Grâce à ce système, le client ne paye que ce qu’il a réellement consommé. Pour Julien Verdier, le dispositif n’a que des avantages : «Le client est autonome. Il n’a pas à se poser la question s’il doit recommander un verre». A côté du menu du midi (13,50 euros), et du menu gourmand à 27 euro, le bistrot propose autrement une formule à 23 euros pour les buffets. Le principe, c’est de proposer pour les groupes un assortiment de fromages AOC, de charcuteries, anti-pasti, gaspachos, soupes, chips maison, disposés sous la forme d’un buffet et disponibles à volonté. A la carte, des plats classiques de la brasserie avec de l’entrecôte, du Saint-Jacques, un tartare de boeuf à la coriandre et au sésame,
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