Il était évident que Michel Del Burgo, comme de nombreux chefs hyperactifs, serait tenté de chercher le développement de ses affaires à l’international. Après avoir pris en main son établissement de l’île Saint-Louis, l’Orangerie (qui, de façon surprenante, ne figure pas au guide Michelin), Michel s’apprête à ouvrir un restaurant de club privé à Moscou avec son ancien employeur Andreï Dellos (Le Duc, Turandot, café Pouchkine). Michel travaille aussi sur un projet d’ouverture à Barcelone. L’exemple donné par Paul Bocuse, Alain Ducasse, les frères Pourcel et d’autres a tout intérêt à être suivi pour que la gastronomie française puisse garder son image à l’international.
Il reste 10% de l'article à lire
Accédez à l’ensemble
des articles de Le Chef
à partir de 23€