Michel de Matteis prend la suite de Richard Ekkebus au piano du Royal Palm, l’Hôtel membre de The Leading Hotels of The World, situé à l’Île Maurice dans l’Océan Indien. Michel de Matteis devrait satisfaire aux exigences de qualité du Royal Palm, cet hôtel mauricien qui se compose de 84 suites, dont trois Présidentielles, et dont les restaurants et les bars surplombent l’océan Indien. Pour le chef, il s’agit d’une belle promotion : «C’est vrai que c’est une petite récompense pour le travail accompli. Mais cela relève de tout un ensemble : quand on s’investit, on récupère forcément.» Ce départ s’est fait naturellement. Michel de Matteis a en fait été mis en relation avec le directeur, Jean-Pierre Chaumard, à un moment où il ressentait l’envie de bouger. Pour mieux le séduire, Jean-Pierre Chaumard l’a invité à visiter l’hôtel et le résultat a eu l’effet escompté : «C’est plus que magnifique, mais pas seulement les paysages, c’est l’ensemble. Il y a aussi la gentillesse des gens par exemple. Je crois que je vais avoir tout ce que j’ai voulu. Jean-Pierre Chaumard s’est en effet renseigné sur moi, il m’a fait part de mes relatives lacunes en tant que gestionnaire et m’a indiqué que cela était loin d’être rédhibitoire dans un établissement d’aussi grand standing. Je suis donc libéré des con-traintes de la gestion. Bien sûr,
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