
La bonne santé de la restauration rapide (+3,5%) ne surprend plus. Les groupes résistent bien à la crise et offrent un modèle de restauration adapté aux temps difficiles. L’allègement des budgets repas profitent à ce type d’établissements qui savent par ailleurs faire évoluer leur offre pour séduire leur clientèle.
L’hôtellerie semble quant à elle passer le cap de la crise de façon assez miraculeuse (+1,9%), mais tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Les grands groupes ont tiré leur épingle du jeu, pendant que les petits indépendants souffrent en silence…
Chiffres sur un an, de février 2011 à février 2012, France métropolitaine, source Insee.