Jean-Marie Amat, chef étoilé du Saint-James, à Bouliac, a décidé de fermé ses portes à l’heure du déjeuner, de novembre à avril. Ne pouvant ni embaucher ni multiplier les heures supplémentaires, Jean-Marie Amat, comme son confrère Bernard Mercier (Le Régent) attend une baisse significative des charges pour revoir sa stratégie. La baisse de un point de tva ne suffira pas.
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