«Nous avons créé l’ICOP (Institut de Chimie OEnologie de Provence) à Marseille en 1991», indique Bernard Sallustro qui possède une double formation en droit et en oenologie et qui travaille dans le vin depuis 1974. «Puis en 2003, nous avons lancé l’établissement de Paris (Institut de Chimie OEnologie de Paris).»A Marseille, L’ICOP forme une soixantaine d’élèves par an et une vingtaine à Paris. Une grande partie d’entre-eux sont des jeunes ou des adultes, qui font de la formation diplômante. «Nous avons notamment des BTSA (viticulture, oenologie) et des BTSA (technico-commercial boissons, vins et spiritueux). Dans le sud, nous faisons surtout de la production (BTS viticulture oenologie…), alors que dans le Nord, nous faisons plus de BTS commerciaux.» A cela s’ajoutent des formations en alternance de 1 à 2 ans (contrat de professionnalisation, environ 65 % du temps effectué en entreprise) et des formations continues pour les salariés, notamment dans le cadre du
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