Fort du succès de films dénonçant la «malbouffe» et la mondialisation du goût, Dijon a inauguré un festival Cinéma et gastronomie. Cette nouvelle manifestation a diffusé, du 17 au 21 novembre, quatorze longs-métrages, cinq documentaires et dix courts-métrages. Un prix a été décerné – celui du Bernard Loiseau – à une scène de cuisine de Tortilla Soup. Les spectateurs ont pu voir ou revoir des films comme La Grande Bouffe (hors compétition), Supersize Me, Mondovino. Et la critique a notamment relevé parmi les nombreuses découvertes, le film grec de Tassos Moulmetis, A Touch of Spice (Une touche d’épices). Ce film traverse par la question culinaire comme signe d’identification et de mémoire, le retour dans la douleur d’un grec d’Istanbul dans son pays d’origine.
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