Première destination mondiale, la capitale manque d’hôtels dans les catégories trois et quatre étoiles. Pourtant, dans les deux années à venir, elle devrait se doter de 2 000 chambres supplémentaires sur ces segments, le développement des hôtels économiques se réalisant plus en banlieue que dans Paris-même. La période est favorable aux investissements, et les prix grimpent en conséquence. Le tourisme d’affaires et de loisirs est toujours soutenu et pour ajuster l’offre, le développement se fait parfois en périphérie proche, comme le Sofitel (Accor) ouvert en septembre à La Défense, ou l’hôtel Courtuyard (Marriott) qui doit ouvrir Porte de Saint-Cloud d’ici à deux ans.
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