«Veuillez trouver ci-joint photocopie d’une lettre que très vraissemblablement de nombreux restaurateurs ont dû recevoir. Il s’agit là d’un petit «larcin», qui multiplié peut rapporter plus. Il y a 2 ou 3 années, nous avons été victimes d’une histoire similaire. Pensant que votre journal pourrait diffuser cette lettre, afin d’éviter à certains restaurateurs de payer ce petit «plaisantin».
Recevez cher Monsieur, l’expression de nos sentiments les meilleurs.»
«Monsieur,
Je suis venu chez vous il y a deux semaines et on a vraiment bien mangé – tout était délicieux. Le service était aussi impeccable, sauf pour un petit détail. Pendant notre repas, un serveur très sympathique a renversé du vin rouge sur ma cravate par erreur. Malgré cela, on a passé une très bonne soirée. Cependant, quand je suis rentré chez moi, j’ai mis la cravate au pressing, mais malheureusement, ils n’ont pas pu enlever les taches. La cravate m’a coûté 40 euros et bien que je sache que ce n’est pas autant d’argent, je ne gagne pas beaucoup et donc si vous pouviez me rembourser ce serait un très beau geste.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.
Hector Scott»