
Suite à l’inscription du repas gastronomique des Français au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité, l’Etat se doit de nommer ce qui sera la cité de la gastronomie française. Cela fait en effet partie des quatre obligations inscrites au plan de gestion mis en place en 2011. Aujourd’hui, ce n’est non pas une cité mais un réseau de cités de la gastronomie qui a été décidé par les ministres, qui ont fini par citer Dijon, Tours, Paris-Rungis et Lyon. C’est François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, qui a été le premier à présenter le projet de sa ville, évalué à 54 millions d’euros. Le dossier de Tours est quant à lui évalué à 32 millions d’euros, et celui de Lyon, à 18 millions d’euros.