Les bouilleurs de crus. En 1806, Napoléon leur avait octroyé le privilège de distiller eux-mêmes leur alcool, sans payer d’impôt. Mais pour limiter les ravages de l’alcool, un décret de Michel Debré du 30 août 1960 a interdit la transmission de ce privilège. A cette époque là, ils étaient encore 2 millions et leur production moyenne tournait autour de 4,75 hectolitres. Aujourd’hui, ils sont un peu moins de 300 000, mais leur production par tête a presque doublé passant à quelque 8,5 hectolitres
Il reste 10% de l'article à lire
Accédez à l’ensemble
des articles de Le Chef
à partir de 23€