
Installé à l’hôtellerie du Chapeau Rouge depuis 1999 (ancien relais de poste du XIXème siècle) à Dijon, William Frachot est issu d’une famille de restaurateurs. Après un tour du monde, et quelques tables de prestige, il transfigure l’Hostellerie du Chapeau Rouge, en très mauvais état et contribue à une authentique renaissance. Consacré par le Michelin qui lui décerne une étoile en 2003 et une seconde 10 ans plus tard, William est un chef qui soigne ses convives. Avec l’aide très précieuse de fournisseurs tels qu’Olivier Metzger, maître boucher désormais incontournable pour qui souhaite bénéficier des meilleurs produits du marché.Comment définiriez-vous votre identité culinaire ?
J’essaie de casser les codes gastronomiques de ma région, fort de mon expérience passée et des voyages réalisés à travers le monde. Ma cuisine s’efforce d’introduire des ingrédients comme le wasabi ou le soja. Une manière de suggérer une invitation au voyage à ceux qui s’arrêtent dans mon établissement. Bien entendu, je m’appuie sur des fournisseurs de choix, dijonnais pour la plupart, mais je fais également appel à des fournisseurs hors de ma région s’il le faut, pour des produits plus rares, afin de satisfaire une clientèle en quête d’émotion. Mon objectif premier consiste à donner de la qualité qui suscite in fine une émotion sans précédent au consommateur final.
Pourquoi avoir fait appel à Olivier Metzger ?
Pour atteindre l’excellence, tout simplement. En travaillant avec Olivier, je mise sur la qualité et non sur