
Poulette Affinée
Que personne ne se méprenne sur le pedigree de la Poulette Affinée de la Cour d’Armoise ! Si ce produit, né l’année dernière, s’avère évidemment moins coûteux que la poularde, il reste très courtisé par bon nombre de grands chefs. N’en déplaise à ses éventuels détracteurs, la Poulette jouit d’une alimentation issue de la biodiversité sur des sites classés bio….
Est-il utile de rappeler qu’en 2005, Alain Passard, chef étoilé du restaurant l’Arpège dans le 7ème arrondissement de Paris (trois étoiles au Michelin) découvre et booste la notoriété de La Cour d’Armoise ? « Une marque déposée depuis 6 ans », comme tient à le souligner Pascal Cosnet, producteur et propriétaire de la marque. Avec son épouse, Marie Agnès Cosnet, ils entretiennent un savoir-faire qui puise ses origines dans le terroir sarthois, depuis plusieurs générations. « Au Moyen Age, rappelle le couple, la poularde du Mans honorait les plus belles tables de France, royales, entre autres ».
Bec fin
A La Cour d’Armoise, la nourriture d’une Poulette Affinée ne se prend pas à la légère. De fait, son alimentation respecte scrupuleusement la biodiversité. « Composée de blé, de maïs, et de plantes de saison, le tout est concassé et donné à la main », explique le couple Cosnet. La Poulette Affinée évolue dans une prairie naturelle et dispose également d’herbes, d’insectes et autres lombrics. Pour couronner le