Dès lors, d’une part, qu’il s’avère impossible d’éditer des documents rendant l’ordinateur impropre à sa destination et, d’autre part, qu’il n’est pas contesté que le vice caché dont il est affecté existait antérieurement à la vente, le vendeur est tenu à la garantie des vices cachés infestant l’appareil. L’acheteur est donc fondé à le rendre et à exiger la restitution du prix.
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